The WWF is run at a local level by the following offices...
- WWF Global
- Adria
- Argentina
- Armenia
- AsiaPacific
- Australia
- Austria
- Azerbaijan
- Belgium
- Bhutan
- Bolivia
- Borneo
- Brazil
- Bulgaria
- Cambodia
- Cameroon
- Canada
- Caucasus
- Central African Republic
- Central America
- Central Asia
- Chile
- China
- Colombia
- Croatia
- Democratic Republic of the Congo
- Denmark
- Ecuador
- European Policy Office
- Finland
Nos Nouvelles
Les dirigeants mondiaux s'engagent à inverser la tendance à la perte de la nature d'ici 2030
Ce 28 septembre 2020, plus de 65 chefs d’Etats et de gouvernements du monde vont prendre des mesures décisives pour la nature dans le cadre de la Décennie d'action des Nations unies pour le développement durable.
Cet évènement des Leaders pour la nature et l'homme, dont le contenu est disponible ici est alors lancé ce jour à titre de réponse directe à la nécessité d'une action mondiale urgente pour faire face aux défis qui lient la biodiversité, le climat et notre santé. Depuis 2018, une série de rapports scientifiques ont attiré l'attention du monde entier sur la crise de la biodiversité et le déclin de la nature à l'échelle planétaire. Le rapport IPBES (2019) a rapporté qu’environ un million d’espèces vont disparaître dans les décades qui viennent si rien n’est fait pour adresser les causes de la perte de la biodiversité et que 85% des zones humides dans le monde sont déjà détruites. Le rapport planète vivante 2020 du WWF, que vous pouvez télécharger ici, publié en début septembre, a révélé un déclin de 68 % des populations de vertébrés dans le monde depuis 1970.
« La perte de nature et de biodiversité est si grave qu'elle pose de graves risques pour notre santé, notre économie et nos moyens de subsistance. Les pandémies, les incendies de forêt, le déclin de la faune et le changement climatique sont tous des symptômes de notre relation dangereusement déséquilibrée avec le monde naturel. Nous ne pouvons plus l’ignorer et nous devons agir de manière décisive » affirme Marco Lambertini, directeur général du WWF.
Pour Madagascar en particulier, « nous devrons investir dans la sécurisation et la pérennisation de nos aires protégées et faire du capital naturel la pierre angulaire du développement de Madagascar » affirme Tiana Ramahaleo du WWF. « Il faut mettre immédiatement fin aux trafics de ressources naturelles par l’application des lois, mettre en œuvre la stratégie d’approvisionnement en bois énergie et gérer durablement et équitablement les ressources côtières et marines de notre pays. Madagascar devait être en première ligne dans ce nouveau pacte ! » Conclut Tiana Ramahaleo.